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Notre histoire

La maison

Depuis 1929, la maison Desrues fabrique les bijoux, boutons et accessoires des plus célèbres maisons de mode. Des créations esthétiques et techniques, nécessitant des savoir-faire d’excellence et des heures de travail. Parurier attitré de Gabrielle Chanel, Desrues est devenu en 1985 la première Maison à rejoindre ce qui deviendra plus tard les Métiers d’Art.

La rue Amelot

Pour les grands créateurs de l’époque, il est l’homme des bijoux, des accessoires et des boutons. Nous sommes à Paris dans les années 20 quand George Desrues commence à faire ses armes auprès de Monsieur Chandelier, artisan parurier qui fournit les maisons de couture parisiennes. En 1929, George Desrues installe ses outils rue Amelot, à Paris.

Des clients de renom

Gravure, polissage, dorure, le petit atelier se développe vite, acquiert de nouveaux savoir-faire et entame une collaboration avec des clients de renom tels que Madeleine Vionnet, Balmain, Jeanne Lanvin ou encore Hubert de Givenchy. C’est dans les années 60 que George Desrues imagine pour la première fois une collection de boutons qui ornera les tailleurs de Gabrielle Chanel. Les tabletiers taillent les boutons à la plane, les artisans chatonnent, estampent, soudent et le parurier de la rue Amelot développe à l’infini l’esprit de CHANEL. Une collaboration si étroite qu’elle débouche en 1985 sur son rachat par la Maison CHANEL.

Desrues à Plailly

Aujourd’hui, c’est sur le site de Plailly, en Picardie, que la Maison Desrues poursuit ce processus créatif, dans lequel les métiers d’arts et les savoir-faire s’égrènent le long d’un couloir jalonné de portes. Les artisans, ingénieurs, stylistes, maquettistes, créent, sculptent, gravent, polissent, dorent les pièces qui viendront souligner les collections des maisons de mode. Depuis 2020, une filière cuir est venue compléter l’éventail des savoir-faire du parurier.

Entre tradition et innovation

Au fil des décennies, les parures, bijoux, boutons sortis des ateliers sont religieusement archivés. Autant de témoignages de l’imbrication entre l’histoire de Desrues et celle du bijou. D’un bijou très précieux qui a progressivement laissé de la place au « bijou fantaisie » dans les maisons de couture. De l’évolution des matériaux. D’un luxe, qui n’a jamais cessé d’osciller entre flamboyance et minimalisme. D’une volonté de conserver les savoir-faire les plus artisanaux, tout en intégrant l’innovation et les procédés numériques dans sa réflexion créative et technique.